Toute une génération de
parvenus qui incarnent parfaitement la décadence de l’Occident est responsable
de la crise actuelle de la gestion coopérative en copropriété. En effet, des profiteurs
de la croissance pollueuse et héritiers du chaos de mai 68 ne se sentent plus d’être
devenus « propriétaires ». Ils se changent en trolls menteurs,
anonymes, délinquants, incohérents et racistes sans que grand monde ne réagisse. Ces trolls ont, de surcroît, un gros melon en voulant usurper la place des spécialistes reconnus. Maintenant, ça suffit !
Mensonges délibérés
Sur Legavox, un
troll-blatte anonyme prétend, avec ses complices, dans certains fils de
discussion, que la gestion de forme coopérative en copropriété n’existe pas. Il
fait donc semblant d’ignorer l’existence de l’article 17-1
de la loi du 10 juillet 1965.
Dans d’autres fils de
discussion, le même troll-blatte indique avoir été plus de dix ans conseiller
syndical dans un syndicat coopératif…. Cela signifie que le troll-blatte a
délibérément menti, et cela durant des semaines, et après avoir eu les antennes
plongées dans ses contradictions.
Toute la question est
de savoir pourquoi.
En fait, la gestion de
forme coopérative en copropriété a été introduite dans la loi grâce au
militantisme de Michel THIERCELIN (lien).
Les efforts de ce dernier n’ont toutefois pas été reconnus à leur juste valeur
par la génération qui a suivi. C’est pour cela qu’elle dissimule cet héritage
tout en voulant le confisquer, d’où la tendance aux mensonges incohérents et éhontés.
Les individus devenus
propriétaires grâce à la haute croissance dans les années 1980 à 1990 ont
aujourd’hui souvent entre 70 et 80 ans. Ce sont des parvenus peu instruits qui
ont profité des 30 glorieuses. Ils n’ont pas su respecter la glorieuse
génération précédente (celle de la Résistance et de René CAPITANT, dont l’influence
a été déterminante pour obtenir la gestion de forme coopérative). Ils n’ont pas
non plus été confrontés à la concurrence sociale bien plus forte qu’a dû
affronter la génération devenue propriétaire dans les années 2000 et 2010.
Ces beaufs un peu insolents
étaient ceux qui ont invectivé Pierre CAPOULADE (l’un des principaux rédacteurs
de la loi de 1965) lors du colloque du 17 octobre 2014 (La copropriété dans l’ALUR,
Informations Rapides de la Copropriété n° 604).
Aujourd’hui, toute
cette racaille ose se réclamer de la gestion de forme coopérative et du débat
juridique sur la copropriété alors qu’ils n’ont pas su respecter Pierre
CAPOULADE et Michel THIERCELIN de leur vivant.
Pire, des jaloux,
excités et haineux veulent éliminer les spécialistes qui, eux, ont fait l’effort
de respecter les générations antérieures. Le troll-blatte et ses alliés méprisent
par exemple les excellents auteurs Daniel TOMASIN, Florence BAYARD-JAMMES et
Jean-Marc ROUX, adoubés par Pierre CAPOULADE de son vivant et chargés de mettre
à jour son ouvrage principal sur la copropriété (La
Copropriété, Dalloz, 2021-2022).
Les beaufs ingrats s’agitent
toutefois désormais car ils sentent qu’ils se dirigent vers les poubelles de l’histoire.
Leur prétention impudente et leur incapacité à se placer dans le sillage d’auteurs
meilleurs qu’eux soulignent la faillite de toute une génération incompétente qui
recueille à présent la monnaie de sa pièce. Qui méprise les générations
antérieures est méprisé par les générations nouvelles !
Le troll-blatte préfère
donc mentir et passer sous silence ceux qui sont bien meilleurs que lui, non
sans invoquer à la place l’UNARC (sans forcément avoir demandé leur avis, d’ailleurs).
Cette attitude reflète
le refus du principe de rotation, qui permet pourtant à une
dynamique collective de durer lorsque chaque génération respecte la précédente.
Si une génération se place en dehors de ce principe, tant pis pour elle. Les
autres sauront se relier entre eux sans passer par son intermédiaire.
Anonymat et pétainisme
L’UNARC n’a donc pas de
quoi être fière d’être invoquée par des trolls anonymes qui dénoncent à visages
masqués des syndics professionnels nommément cités sur internet.
Il est vrai que la
rubrique abus de l’UNARC a encouragé ces attitudes, mais l’UNARC est une
fédération d’associations parfaitement officielle avec un représentant légal et
qui peut être attaqué pour diffamation. Il n’en va pas de même pour un troll
masqué qui dissimule son identité sous un pseudonyme.
Que penser de cette
mentalité qui consiste à faire de la délation anonyme sur internet ? C’est
le retour des pratiques pétainistes les plus méprisables.
Le poujadisme qui
consiste à menacer les députés de leur « couper les oreilles »
(lien)
a conduit au pétainisme qui consiste à dénoncer des personnes dénommées sans
indiquer sa propre identité.
Le troll-blatte et ses
alliés, tous anonymes, ont en plus le culot de critiquer les autres internautes
qu’ils accusent, parfois fallacieusement, d’anonymat ! « Faites
ce que je dis, pas ce que je fais ! » Telle est leur devise…
L’anonymat sur internet
empêche toute vérification des intérêts en présence. C’est aussi
une cause de déréliction de l’action collective.
À la glorieuse
génération de la Résistance a ainsi succédé celle des enfants de Pétain,
bouffons obscènes incapables de respecter les règles pourtant simples qu’ils
veulent imposer aux autres. Ces bouffons vieillissent. Il est temps de tirer la
chasse, pour que les cadavres de blattes s’en aillent avec les eaux usées !
Délinquance éhontée
La crapule des beaufs
profiteurs viole, de surcroît, la loi et se permet, par exemple, de pratiquer
la contrefaçon, ce qui est un acte de délinquance !
Et quand on leur met le
museau dans leurs excréments, ces trolls préfèrent tortiller du cerque (l’appendice situé
près du rectum des blattes) et gesticuler en tous sens comme s’ils avaient
ingéré du Goliath
Gel.
On peut contester l’application
de lois injustes mais certainement pas continuer des actes de délinquances
après avoir été mis en garde.
Cette mentalité bornée
et malfaisante a empuanti depuis trop longtemps les conseils syndicaux. Un
potentat infect qui refuse de respecter la loi même quand on lui met le texte
sous le museau est incapable de gérer un immeuble de manière conforme à la loi.
Placé face à ses torts,
le mafieux adopte alors un ton menaçant et préfère toujours s’attaquer à des
individus isolés pour tenter de les intimider.
C’est exactement pour
cela qu’il faut adhérer à des structures collectives et interdire toute
discussion en dehors du contact avec ces structures.
Tel est le principe d’intermédiation
sur lequel le présent blog insiste tant pour conduire une action collective.
Incohérence accablante
Le troll-blatte et ses
alliés ne s’arrêtent pas là dans le ridicule et l’impudence.
Ils violent
systématiquement les règles qu’ils fixent.
Ils demandent aux
autres de répondre point par point à leur argumentation mais refusent de le
faire eux-mêmes et évitent toujours d’aborder les points relatifs à leurs propres
infractions et à leurs mensonges.
Ils demandent aux
autres d’être concis, mais se répandent eux-mêmes dans de longs messages qui
durent des pages et des pages et partent dans tous les sens.
Ils reprochent aux
autres d’être agressifs alors qu’ils sont les premiers à injurier publiquement
ou en privé leurs contradicteurs qui parlaient de manière neutre.
Ils reprochent aux
autres d’intervenir de manière illégitime au nom de structures mais osent,
eux-mêmes, s’exprimer au nom de l’UNARC sans prouver en être membres…
Le climat délétère que
ces trolls font peser est la cause de l’effondrement de la gestion coopérative
en copropriété. Aucune structure collective ne peut fonctionner durablement si
le principe de réciprocité n’est pas respecté. Chacun doit être
le premier à faire ce qu’il réclame des autres.
Racisme rampant
Le troll-blatte, en bon
pétainiste délateur anonyme, est aussi un raciste.
Lorsqu’il veut
critiquer une organisation collective, il s’en prend isolément à des membres de
cette organisation issus de la diversité, au lieu de critiquer les dirigeants
de l’organisation collective, et cela malgré les avertissements de cette
dernière sur la dimension raciste d’une telle attitude.
C’est donc bel et bien
du racisme délibéré.
Rien d’étonnant à cela.
La génération des
profiteurs, constituée de vieux messieurs blancs aujourd’hui, est repliée sur
ses rentes économiques, sociales et historiques.
Incapables de se
soumettre à une évaluation pluraliste, ces beaufs veulent se recroqueviller sur
des acquis identitaires. Eliminer le regard des dames, des gens de couleur ou
des personnes issues de l’immigration maghrébine leur semble être la meilleure solution
pour éviter toute contestation. C’est imbécile.
De très nombreux
notables, même extérieurs à la diversité, veulent désormais une France forte et
efficace face aux périls qu’elle affronte. Or, ce ne sont pas des vieux cons
passéistes qui permettront les remises en cause nécessaires. Au contraire.
Jamais les regards croisés, c’est-à-dire les critiques provenant
d’autres points de vue, n’ont été aussi importants.
Quant aux rentiers, la technocratie,
même dirigée par des messieurs blancs, estime souvent qu’il faut les dégraisser
pour accéder à plus d’efficacité économique…
Les trolls-cafards qui
méprisent les principes de rotation, de vérification, de réciprocité, d’intermédiation
et de regards croisés sont donc la cause des difficultés actuelles de gestion
de centaines de milliers de syndicats des copropriétaires. Ils incarnent la
décadence de l’Occident dont parlent souvent les Indiens et les Chinois (lien).
En plus, ces trolls ont
pris un gros melon en prétendant avoir plus d’autorité que les directeurs
scientifiques universitaires de revues spécialisées ou que les dirigeants
légitimes d’organisations collectives reconnues.
Néanmoins, lesdits
trolls sont utiles en ce que leur ridicule permet de mettre en lumière, par
contraste, les efforts de ceux qui s’inscrivent dans des dynamiques durables
qui permettent la transmission du savoir et son amélioration.
Quant aux blattes, les
mésanges charbonnières sont bien contentes de les trouver au printemps pour les
dévorer lorsque les humains ne posent plus de nourriture dans les nichoirs.