D&CS

Le 7 décembre 2013, une importante réforme statutaire a eu lieu. Le LGOC souhaite désormais devenir une pépinière coopérative et veut aider, par l'attribution d'une forme de label, les groupes souhaitant convaincre les autres du fait qu'ils peuvent coopérer.

Par la suite, le bulletin de l'association, intitulé Droits et construction sociale (D&CS), contiendra uniquement des reportages et des articles signés par des membres du LGOC. Les bulletins antérieurs à la réforme statutaires qui contenaient parfois des entretiens, sont réservés aux archives de la Bibliothèque Nationale.


Ci-dessous sont accessibles les éditoriaux et présentations ainsi que des liens vers les numéros toujours mis en ligne car pas trop démodés.



Bulletin n° 31, 09 décembre 2013, Nouveaux statuts du LGOC






Bulletin n° 32, 10 décembre 2013, Nouveau règlement intérieur du LGOC






Bulletin n° 33, 11 décembre 2013, Du nouveau pour la transparence sur les devis











Bulletin n° 34, 09 janvier 2014, La solution du syndic à distance








Bulletin n° 35, 29 janvier 2014, Pour un observatoire des garanties coopératives



Bulletin n° 36, 16 février 2014, Pour un coopératisme sans tromperie





Bulletin n° 37, 23 février 2014, Pour un coopératisme sans fantaisisme






Bulletin n° 38, 02 mars 2014, Civisme et coopération







Bulletin n° 39, 09 mars 2014, Au-delà des bons sentiments




Bulletin n° 40, 16 mars 2014, Bilan d'étape à la date du 08/03/2014






Bulletin n° 41, 09 juin 2014, La mutualisation des moyens en copropriété, 1 Les handicaps français (dossier sur l'action collective dans l'habitat)






Bulletin n° 42, 15 juin 2014, La mutualisation des moyens en copropriété, 2 Les unions de syndicats (dossier sur l'action collective dans l'habitat)





Bulletin n° 43, 27 juin 2014, La mutualisation des moyens en copropriété, 3 Les unions de syndicats éventuellement perpétuelles (dossier sur l'action collective dans l'habitat)







Bulletin n° 44, 29 juin 2014, La mutualisation des moyens en copropriété, 4 Les unions de syndicats coopératifs (dossier sur l'action collective dans l'habitat)






Bulletin n° 45, 04 août 2014, La mutualisation des moyens en copropriété, 5 L'échec normatif des unions de syndicats (dossier sur l'action collective dans l'habitat)





Bulletin n° 46, 13 août 2014, La mutualisation des moyens en copropriété, 6 Les unions de services face à l'échec institutionnel de l'ESS (dossier sur l'action collective dans l'habitat)







Bulletin n° 47, 19 août 2014, Dossier sur les unions de services et l'espoir coopératif, 1 La voie de la réussite coopérative





Bulletin n° 48, 08 septembre 2014, Dossier sur les unions de services et l'espoir coopératif, 2 L'oubli de l'autonomie dans l'habitat participatif





Bulletin n° 49, 29 octobre 2014, Les contraintes de l'investissement sur le long terme




Bulletin n° 50, 03 novembre 2014, Dossier Garantir la participation en copropriété, 1 Autonomiser la copropriété participative





Bulletin n° 51, 26 novembre 2014, Dossier Garantir la participation en copropriété, Guide de la copropriété participative, Préambule 



Bulletin n° 52, 30 novembre 2014, Dossier Garantir la participation en copropriété, Guide de la copropriété participative, Chapitre 1, 1 Rompre avec la propagande creuse 





Bulletin n° 53, 15 janvier 2015, Guide de la copropriété participative, Chapitre 1, 2 Qu'est-ce que la participation ? 




N.B. La lecture du bulletin 55 est conseillée avant d'opérer celle du bulletin 54

D&CS, n° 55, 31 janvier 2015, Guide de la copropriété participative, chapitre 1, 3 Processus participatif et idéal coopératif 





N.B. La lecture du bulletin 55 est conseillée avant d'opérer celle du bulletin 54

D&CS, n° 54, 26 janvier 2015, Guide de la copropriété participative, chapitre 2, 1 La mise en cohérence juridique des valeurs 




D&CS, n° 56, 13 avril 2015, Bilan d'étape à la date du 08 mars 2015 



Du fait de l'existence d'une Revue Française de la Copropriété Participative  et d'une Lettre des PMI depuis 2015, Droits et construction sociale sera désormais uniquement consacrée à la promotion du garantisme coopératif et civique. Les sujets relatifs au droit de l'indemnisation et aux politiques publiques de l'habitat seront, quant à eux, abordés dans les deux revues précitées. 


D&CS, n° 57, 14 avril 2016, Guide du garantisme civique




Pour fêter ses cinq ans, le LGOC a souhaité faire la synthèse des positions qu'il défend. L'approche proposée par l'association est qualifiée de garantisme civique. Dans ce guide, les sources qui ont inspiré cette démarche sont présentées. La logique sur laquelle s'appuie la dynamique prônée est explicitée. Le sens des principes invoqués est précisé. On rappelle que, dans ses statuts, le LGOC définit les garanties objectives à apporter aux citoyens pour les convaincre de participer à une action collective. Ces garanties reposent sur les principes de vérification, de rotation, de regard croisé, de réciprocité et d'intermédiation.




D&CS, n° 58, 14 avril 2016, Pour une recherche-action sur l’émancipation coopérative par le droit





La thématique de l'émancipation par le droit émerge actuellement. S'agit-il d'une simple mode ou d'un slogan décoratif ? Le LGOC pense qu'il est possible de donner aux citoyens en butte à des oppressions sociales plus de pouvoir d'agir grâce au droit. Pour cela, encore faut-il avoir une idée claire de ce qu'implique la fin de la fracture entre dirigeants et dirigés. La notion d'action coopérative répond à cet impératif, à condition de ne pas voir la coopération comme un piège à pigeons. Le droit doit également être perçu comme un outil de transformation de la société et non comme un produit de consommation ou bien comme un moyen d'opprimer ou escroquer son voisin.

D&CS n° 59, 28 février 2017, Hors de la coopération, pas de salut 




Ce numéro est centré sur l’ÉPOK, une société coopérative consacrant son activité au soutien des groupes d’habitat participatif.

Une première analyse est intitulée « Entre compagnons et opposants. Le garantisme civique dans la société » (pp. 2 à 6). Ce texte explique que l’action du LGOC est centrée sur le soutien à des compagnons historiques mais cela n’exclut pas des partenariats avec ceux qui l’acceptent, voire des débats avec des interlocuteurs et même des controverses avec des détracteurs. Les opposants tacites malveillants peuvent aussi être utiles en étant mis à distance.

Une seconde analyse intitulée « Pour une dédiabolisation de l’ÉPOK » (pp. 7 à 15) explique à la fois la pertinence et les limites de la rhétorique réactionnaire opposée à l’habitat participatif. Sur le modèle de ce que décrivait HIRSCHMAN, l’habitat participatif est accusé d’être contre-productif (argument de l’effet pervers), inutile (argument d’inanité) et dangereux (argument de la mise en péril). L’oubli de toutes les expériences instructives de ceux qui ont géré bénévolement leur copropriété est un effet pervers, mais on peut lutter contre lui en écrivant l’histoire de ce passé oublié. La propagande prophétique basée sur du vide relève de l’inanité, mais on peut l’éviter en ayant des idées organisationnelles claires, étayées et construites, débattues avec des autorités institutionnelles installées. La lutte des places conduite par des réseaux d’incompétents à la recherche de martingales constitue une mise en péril, mais la participation au débat doctrinal sous le regard de spécialistes de toutes opinions empêche cette montée des charlatans.

Le numéro comprend ensuite un entretien avec l’ÉPOK, qui explique sa vision reposant plus sur le « désir » que sur une construction organisationnelle rigoureuse, mais il faut de tout pour faire un monde, et il est intéressant d’échanger avec un interlocuteur (pp. 16 à 21)  


Enfin, dans un article intitulé « L’élan coopératif. Un remède à la sinistrose » (pp. 22 à 29), on souligne le danger du nihilisme juridique et du culte de la propriété absolue. L’action collective doit être améliorée pour conduire à une véritable émancipation et non à l’exploitation. La crise du monde juridique est également relevée, du fait du poids des prébendes et de la tentation de l’asservissement des petites mains, le tout empêchant un travail étayé. Face à ces dérives, la coopération est la solution, à condition qu’elle soit conçue comme une émancipation, et non comme un mode de gestion technocratique utilisant des réunions inutiles par démagogie.